dimanche 19 juin 2011

Les migrations francophones en Amérique du Nord dans de la littérature Canadienne française

Résumés :
Pélagie-La-Charrette : Suivant la grande déportation de 1755, un groupe d’Acadien décida de retourner à la terre de leurs ancêtres après de nombreuses années passées au travail forcé. Pélagie Bourg dite Le Blanc quitte la Géorgie accompagné de ses enfants et de quelques autres exilés à bord une charrette. De nombreuses autres familles se joignirent au groupe de charrettes en cours de route, tous encouragé par le même désir profond. Soit, de changer le style de vie qui leur avait été donné en retrouvant la richesse et la beauté de la terre de leurs ancêtres.
La Quête d’Alexandre : Ce roman, séparé en trois parties, raconte les évènements vécu de deux personnages principaux avant et après qu’ils se soient faites connaissance. Se texte traite en grande partie de la recherche d’identité de certains personnages ainsi que de l’amour et de la religion mais, comporte aussi un élément de migration très omniprésent dans le déroulement du texte. Au cours des chapitres, nous faisons la découverte de différents personnages qui prennent la décision de changer d’habitat pour une multitude de raisons. Certains se voient obligé de quitter leur demeure pour des raisons de santé et de désastres naturels tandis que d’autres ont eux le privilège de prendre une décision plus aisé en évaluant les avantages et désavantages d’une telle décision.  À travers les yeux de deux individus très différents, le lecteur parcourt le Canada en découvrant de nombreuses situations et personnage reproduisant avec une précision incroyable la réalité du 20ième siècle.       
            Compte Rendu
            Un déménagement est une étape stressante de la vie auquel la plupart de nous, en tant qu’individu, devons faire face au moins une fois au cours de notre existence. Il est normal que cette action soit dans la gamme des moins désirables pour de nombreux gens puisqu’elle consiste de laisser les gens ainsi que l’entourage qui nous est commun afin de partir à l’aventure. Un groupe, ou bien un individu, peut décider de changer d’habitat pour une multitude de raisons très variées. Parfois, le déplacement est accomplit par choix en évaluant les pours ainsi que les contres mais, par contre, un départ peut aussi être involontaire ou bien même forcé.  Dans les romans Pélagie-La-Charrette et La Quête d’Alexandre, les déplacements vers de nouveaux territoires des différents personnages fictifs sont causés par certaines valeurs familiales, par le désir d’une meilleure qualité de vie ainsi que pour des raisons complètement hors de leur contrôle.
            Il existe, entre les membres d’une même famille, un lien qui va au delà de la science et du matériel génétique. Dans de nombreuses cultures, incluant la communauté franco-canadienne, les valeurs familiales possèdent une place de haute importance au niveau des priorités du groupe ethnique. Ce type de lien fondamental permet à  tout individu de se sentir accepté parmi un groupe de gens avec lequel il peut partager ses joies, ses accomplissements ainsi que ses craintes et ses peines. Pélagie Leblanc, surnommé plus tard Pélagie-La-Charrette, figure parmi la liste des personnages qui attachèrent une énorme importance à ses héritiers et à ses ancêtres. Elle décida, après de longues années d’exil, de retourner en Acadie afin de pouvoir offrir les beautés  de son pays d’origine à ses descendants. Elle avait juré à ses aïeux de ramener les siens au pays. Elle avait tenu parole. Et d’avantage. Elle avait ramené au pays les racines d’un peuple. (Maillet, 175) Elle se rappelait, malgré les nombreuses années passées au travail forcé, de la richesse et de la forte culture de son ancien territoire puis, elle tenait à ce que ses enfants, ainsi que les membres de sa famille plus éloigné, puissent eux aussi jouir de se pays de rêve. En cours de route, de nombreuses autres familles se joignirent aux charrettes, provenant d’un peu partout aux États-Unis. Ils retrouvèrent, enfouis dans le creux des chars, des traces de leur origine Acadienne ainsi que des membres de famille perdu lors de la grande déportation. Ne tenant pas compte des saisons qui séparaient leur dernière rencontre, les voyageurs partagèrent entre eux leurs quelques appartenances personnelles mettant souvent leur propre survie en danger afin de prêter main forte à son voisin. Malgré les nombreux décès et difficultés rencontré en chemin, des liens très forts se sont créé entre les différentes familles et membres de l’ancien Acadie. Antonine Maillet, soit l’auteur du roman Pélagie-La-Charrette, a inséré ce lien familiale entre les différents voyageurs afin de pouvoir présenter aux lecteurs une raison légitime expliquant pourquoi au juste un groupe accomplirait un déplacement si périlleux pour retrouver un simple morceaux de terre. Cette petite partie du monde se trouvait à être la terre de leurs ancêtres et le groupe se disait près à affronter n’importe quoi afin de la réclamer. Les valeurs avec lesquels ils furent élevés prit le dessus sur la peur, leurs permettant ainsi de continuer leur route chaos après chaos, jour après jour.
            Ce fût ce même amour de famille, ce lien incassable connaissant aucunes limites qui, dans la Quête d’Alexandre, causa l’évènement perturbateur dans les tout premiers chapitres. Notre héros, Alexandre Sellier, décida de mettre sa vocation de prêtre de côté afin de pouvoir retrouver trace de son frère, disparu quelques années auparavant. Celui-ci, surnommé François-Xavier, avait quitté sa ville natale pendant la même période de temps qu’Alexandre en espérant devenir un prospecteur qui connaitrait du succès dans un Nouvel-Ontario remplis de promesse. Après plus d’une année sans nouvelle, la famille d’Alexandre commençait rapidement à songer le pire puisque des feux de forêt désastreux avaient ravagé, au cours des années,  la région qu’habitait le jeune homme à dernière nouvelle. Afin de pouvoir avoir le cœur net du sort de son frère bien aimé, Alexandre prit l’énorme décision de retarder ses propres rêves et de mettre son avenir en péril. Lorsqu’il fut décidé, au printemps 1913, qu’Alexandre Sellier partirait pour le Nouvel-Ontario à la recherche de François-Xavier, on croyait que ce voyage serait assez bref. ” (Brodeur, 13) Ce petit voyage, qui ne devait reporter ses études que de quelques mois, se transforma rapidement en une véritable quête à travers la province dût aux nombreux imprévues rencontré en cours de route. Vers les dernières années de ses aventures saisissantes, Alexandre fît la connaissance d’une jeune dame qui, à son tour, avait parcouru d’énormes distances dans le bût de retrouver un visage familier. Rose Brent, une jeune fille d’origine Anglaise, fût obligé, après la mort de sa mère, de quitter le pays qu’elle habitait depuis sa petite enfance.  Cette jeune dame âgé de seize ans ce dirigea presque immédiatement après l’incident vers Londres, afin qu’elle puisse demeurer sous la protection de son oncle Edward Finlay en attendant des nouvelles de son frère Ronald. Celui-ci, avait déménagé quelques années auparavant au Canada et était dorénavant, la seule famille immédiate qui lui restait. L’oncle accepta sa filleule avec les bras grand ouvert et lui offrit même un emploi à temps partielle afin qu’elle puisse se bâtir une petite économie. Une fois rendu au Canada, elle entreprit un voyage de plusieurs jours d’Halifax jusqu’à North Bay pour ensuite suivre la route vers le Nord dans une seconde locomotive.  Elle parcourra les dernier quelques kilomètres qui lui restait en char et fût accepté par les habitants de ce nouveau territoire comme un ange descendu du ciel. Malgré la mort de leur mère, la retrouvaille entre frère et sœur fût remplis d’une grande joie. La famille maintenant rétablisse et l’équilibre retrouvé,  la jeune dame se voyait maintenant disposé à recommencé sa vie à zéro, de bâtir son destin comme bon il lui semblait.
            Plusieurs autres personnages eurent aussi l’idée de changer d’entourage afin de pouvoir s’offrir de meilleure chance à un bel avenir. Pélagie-La-Charrette, après avoir travaillé comme une esclave pendant de nombreuses années, en avait ras le bol de son style de vie sans beauté ni joie de vivre. Elle consacra alors tous ses efforts vers un projet qui lui donna un but ultime, soit, une raison de continuer son lourd boulot, une raison de vivre. Elle acheta, avec un mince salaire accumulé au cours des années, une charrette qu’elle espérait un jour rapporté jusqu’à son pays très chère. (…) elle voulait la retrouver comme jadis, son Acadie, avec du grain au grenier, du cidre à la cave, des bêtes à l’étables, un feu dans le macroure, et un amour au ventre. (Maillet, 175) Pour cette jeune mère, cet endroit situé à l’autre bout du continent se trouvait à être le paradis sur terre, d’où pourquoi elle tenait à s’y rendre à tout prix. Elle ne fût toutefois pas la seule à entreprendre cette route périlleuse à travers les États-Unis car, au fur et à mesure que la route progressait, de nombreuses autres familles et communautés décidèrent eux aussi de se joindre à sa quête vers une meilleure qualité de vie. Le groupe passait de régions en régions, parfois obligé de volé ou bien même de faire un peu de travail improvisé afin d’accumuler quelques richesses pour continuer leur longue route. Malgré les temps difficiles où il avait à peine de quoi se mettre sous la dent, “(…) les Allains, les Boudreau, les Babineau, les Landry, tous avaient les yeux rivés sur cette terre promise. ” (Maillet, 175) Le groupe était déterminé et tenait absolument à changer leur sombre existence en des projets avenir remplit de promesses et de joie.
            Il est évidement beaucoup plus facile de faire certains sacrifices lorsqu’un objectif à atteindre ou bien même une récompense désiré se retrouve au bout du parcours. Dans la région du Nouvel-Ontario, plusieurs agriculteurs se voyaient obligé de faire de nombreuses décisions moins intéressantes afin de pouvoir améliorer la situation financière de leur famille. Doug et Ron, deux personnages dans La Quête d’Alexandre, sont de parfaits exemples d’hommes mariés obligés de faire quelques déplacements involontaires afin de pouvoir s’offrir un style de vie raisonnable. Chaque année, pendant les long mois d’hiver canadiens, ces deux cultivateurs se virent obliger de quitter le confort de leurs terres afin d’aller empoché une certaine somme d’argent dans la coupe du bois dans les chantiers. Ce genre de contrat temporaire était très populaire dans le temps puisque cela permettait aux hommes de familles de se procurer un assez bon revenu pendant que les récoltes étaient infructueuses. En plus de mettre de la bouffe sur la table, certains hommes du Nord tous comme Doug connaissaient d’autres plans avenir qui demandaient un niveau de travail intensif et rigoureux assez intensif. Pour de nombreuses années, Doug rêvait qu’un jour il appartiendrait une terre en Floride où il pourrait, accompagné de sa jeune bien aimée, échappé les terribles saisons du Nord. Grâce à sa culture de légume innovatrice et aux longs mois d’hiver passé dans les bois, la date de départ s’approchait rapidement pour les jeunes mariées. Malheureusement, des températures extrêmes ainsi que des accidents imprévisibles sont venues tragiquement repousser leurs plans, les obligeant de demeurer sur place et de rebâtir à zéro. Tandis que certains planifiaient quitter la région du Nouvel-Ontario afin de poursuivre leurs rêves, d’autres voulaient à tous prit se rendre dans cette nouvelle région afin de poursuivre sa découverte et son expansion. Pendant la ruée vers d’or, de nombreux prospecteurs tels que Jim et Tom se rendirent dans les régions inexplorées du Canada afin de tenter leurs chances à la fortune. Ces jeunes hommes accompagnèrent Alexandre pendant une bonne durée de sa recherche dans les régions moins développé du pays. Ils facilitèrent grandement la tâche de notre jeune héro en lui permettant de parcourir de grande distance grâce à leurs méthodes de déplacement efficaces. Cette aide lui permis de retrouver quelques signes de vie de son frère et de rencontrer des gens avec qui Jean-François avait eu contact. Quelques ans auparavant, Alexandre et Jean-François avaient tous deux partie de leurs côtés afin de suivre leurs vocations. Anciennement, être choisi candidat pour recevoir une éducation de prêtrise était un grand honneur familiale et notre jeune héros se trouva à être parmi les quelques garçons chanceux de sa région à être pigés. Cette énorme décision à prendre lui fit présenter un jour par le prêtre de sa paroisse qui le croyait capable d’une telle responsabilité et idéale pour le poste. Après de nombreux encouragements de la part de sa famille immédiate, il décida de laisser de côté le style de vie de forgeron qu’il connaissait depuis sa petite enfance afin de bâtir son propre avenir. Cela fût de même pour son frère Jean-François qui prit la route vers le Nord de l’Ontario afin de tenter sa chance comme plusieurs autres prospecteurs et jeunes aventuriers avaient fait auparavant. Du coté des Brent, les deux frères de Rose ont décidé eux aussi de quitter le nid familiale et le confort de la maison afin de poursuivre leurs rêves les plus chères. Le frère ainé mourut malheureusement au combat en Afrique du Sud tandis Ronald lui, s’installa sur une bonne terre agricole dans une région sous développé du Canada. Cette décision prise sans aucune pression extérieure lui a permis de faire ce qu’il était de mieux pour sa personne, de faire le meilleur choix face à son avenir que possible.
            Tandis que certains individus sont disposé à prendre leurs propres choix face à où ils désirent habiter, certains se voient obliger de confondre à certaines restrictions de la réalité. Dans de nombreux cas, la situation financière d’un individu se retrouve à être la raison première pour laquelle une personne doit habiter une certaine région spécifique. Dans des situations plus extrêmes, un groupe de gens peut être demandé de quitter la région qu’ils habitent par la loi. En 1755, lors de la prise de possession des Britanniques de la Nouvelle-Écosse, une opération de nettoyage ethnique pris lieu dans la région Est du pays. Entre 8000 à 10000 Acadien furent déportés au cours de cette année difficile vers des terres Américaines différentes afin d’éviter un regroupement et une rébellion. Cette initiative fût prise par les dirigeants anglais qui eux, avaient peur que la population francophone en pleine croissance prenne le contrôle du territoire britannique minoritaire. Plusieurs membres des charrettes ont fait partie de ce groupe de gens, retiré de leurs appartenances et placés sur de gros navires en direction Sud ou le travail forcé les attendait. Pélagie et sa famille ne prirent aucunement pars à la décision du déplacement et ne purent débuter leur chemin de retour que plusieurs années plus tard. En cours de route, l’Acadie dût faire de nombreux détours afin de contourner des reliefs et des populations plus difficiles. En tout, le voyage dura plus 10 ans et le territoire qu’ils avaient laissé aux mains des anglais avaient été complètement renversé. Ce plan mis en place par les autorités modifia la vie de milliers d’Acadiens en retirant leurs biens, leurs terres et finalement une énorme partie de leur histoire Acadienne.
                  Être obligé de recommencé sa vie à zéro peut être, pour plusieurs, une tâche qui risque de paraitre quasi impossible. Par contre, dans des situations d’urgences, un individu peut se voir obliger de choisir entre ses richesses et une nouvelle vie dans un temps très limité. Dans les derniers chapitres de La Quête d’Alexandre, un énorme feu de forêt ravagea le Nord de l’Ontario, obligeant des milliers d’habitant à faire le choix extrêmement délicat entre demeurer sur place ou bien fuir la région. Les leaders et chefs des villages recommandèrent fortement (…) à tous de monter à bord et de se réfugier vers le Sud” (Brodeur, 263) ce explique pourquoi la plupart des familles décidèrent d’embarquer sur les quelques locomotives envoyé à leurs secours. Malgré  cela, quelques résidents décidèrent de demeurer sur place, refusant de laisser au sort des flammes ce qu’ils avaient travaillé pendant de nombreuses années à accomplir. Finalement, il y avait le groupe composé d’Alexandre et de Rose qui eux, se trouvèrent piégés par les flammes ayant reçu la nouvelle beaucoup trop tard.  Ils furent obligés d’agir rapidement et d’utiliser la sagesse du vieux Joe afin de pouvoir sortir de se racoin avec la vie sauve. Lorsque les flammes se calmirent et le beau temps revenu, les habitants furent présenté à une nouvelle série de décision très difficile. Ayant pour la plupart tout perdu, les résidents  se virent obligé de choisir entre tenter leur chance ailleurs où bien travailler “(…) à la reconstruction de leur demeure.” (Brodeur, 280) Alexandre décida de quitter les familles avec lesquels il avait bâti une grande amitié afin de retourner au séminaire qu’il avait quitté originalement pour des raisons de maladie. Rose et son mari prirent la décision de demeurer sur place afin de tenter leur chance une dernière fois sur leur terre. La vie des victimes touchés par le désastre naturel se replacèrent tranquillement et l’équilibre fût de nouveau établit dans la région du Nord de l’Ontario.
                  Un déplacement, qu’il soit volontaire ou non, peut être influencé par de nombreux facteurs. Parfois, on peut se voir obligé de quitter notre demeure pour des raisons qui nous sommes complètement étrangères ou bien hors de notre contrôle. N’avoir aucune part dans ce genre de décision peut devenir très frustrant pour un individu mais fit parti de la triste réalité de plusieurs personnages dans les romans francophones analysés. Heureusement, les auteurs ont aussi inclut certains cas où les personnages affectés eurent la chance de faire leurs propres choix face à l’endroit où ils désiraient habiter. Ils se virent donc obligé de peser entre leurs richesses matérielles, leurs rêves et l’importance allégué à leurs membres de familles afin d’accomplir le meilleure choix.
                  Critique interne :
Dans le roman Pélagie-La-Charrette par Antonine Maillet, les problèmes rencontrés par le groupe de voyageurs furent expliqués et mis en contexte de façon moyennement claire dut au dialecte Acadien plus difficile à déchiffrer. L’auteur a aussi inclut des personnages de différentes générations dans son texte ayant le même prénom ce qui ne facilita pas la tâche de demeurer attentif aux nombreux changements de siècles au cours de l’histoire. Malgré cela, lorsque le texte demeura centré sur un personnage pendant une bonne partie d’un chapitre, les évènements surent se suivre dans un bon ordre chronologique. Cela fût de même pour La Quête d’Alexandre où chaque situation vécu par les personnages principaux et secondaires a été présenté d’une façon très facile à suivre. Le vocabulaire majoritairement employé était le français ontarien avec quelques passages en anglais et en jargon. “Who…who are you?”(Brodeur, 220) Hélène Brodeur a su présenté ses idées d’une façon très réaliste malgré le fait que son histoire a été créée entièrement de son imaginaire. Antonine Maillet employa une différente approche en se basant entièrement sur la vraie histoire d’un peuple à la recherche d’un territoire perdu. Elle appuya son texte sur de nombreux faits historiques et vraies situations faisant partie de son vécu. Malheureusement, pas tous les passages du texte n’eurent en bout de ligne, un lien avec le message et le schéma narratif du texte. Cette caractéristique a été trouvée en commun dans les deux livres où des évènements et des personnages ont été ajouté dans le texte afin d’apprêter un différent aspect de la réalité francophone lors de cette période historique. La signification des termes demeura constante dans les deux œuvres et les évènements furent, selon mon jugement, tous réalisables basé sur les explications détaillées des auteurs. Finalement, les romans conclurent tous deux dans les toutes dernières pages mais de façons complètement différentes.  Antonine Maillet mis fin à son histoire en décrivant brièvement l’arrivé en Acadie ce qui était attendu par le lecteur depuis les premières pages. En suivant les évènements et les péripéties  attentivement, on pouvait vite s’apercevoir que le peuple s’approchait de manière constante vers leur but. Quant à la quête d’Alexandre, le lecteur pouvait deviner qu’éventuellement l’héro retrouverait des traces de son frère mais, ne pouvait pas prédire de qu’elle façon cette évènement se passerait. La conclusion permis aussi de jeter de la lumière sur un nouvel aspect de la personnalité du personnage principale ignoré jusqu’à là par le public. Finalement, la vie retrouva son équilibre avec la séparation inévitable des deux amoureux Rose et Alexandre. Alexandre prit la décision tordante de retourner au séminaire pour continuer sa voie vers la voie de la prêtrise laissant derrière lui une amoureuse et un enfant ignoré.
Critique Externe : 
            La situation démographique et financière de nombreux personnages dans La Quête d’Alexandre a réussi à reproduire, avec beaucoup de précision, la réalité des habitants de la région du Nord de l’Ontario lors du siècle dernier. Hélène Brodeur est rentré en grand détail dans sa description de quelques situations dans son roman dans le but de bien représenter la vie d’un individu obligé de déménager au Canada. Rose, soit le rôle majeur lors de la deuxième partie du livre, fût obliger de se déplacer seul à travers la moitié du pays par des moyens traditionnels tels que la voie ferré et le char tiré par des chevaux. Étant une belle jeune dame sans aucune protection, elle se trouva à mainte reprise exposée à des approches masculines non désirables. Cette situation reflète à la foi la difficulté et le danger de voyager seul à l’époque ainsi que présentement. Il est toujours recommandé, que tu sois mâle ou femelle, de voyager en groupe afin de pouvoir éviter des commentaires et des rencontres indésirables. Ma famille et moi furent aussi obliger de déménager en Ontario plus de cinq fois et d’accomplir le long voyage à travers le vaste territoire du Nord. Par contre, nos raisons de déplacement ressemblaient beaucoup plus à celle de Jim et Tom, deux aventuriers à la recherche de la bonne fortune. Ces jeunes hommes partaient pour des années à la fois mettant souvent leur propre vie en danger pour une très mince chance au succès. Les images créées par Hélène Brodeur de ces deux personnages on permit aux lecteurs de bien capter les difficultés auxquels devaient faire face les milliers de chercheurs d’or de la région. Elle porta même une attention spéciale aux femmes amérindiennes qui les accompagnaient lors de leurs voyages incluant ainsi un autre détail historique ignoré par plusieurs qui explique la présence des métis dans la région du Nord. Finalement, elle s’assura aussi d’inclure un personnage principale migratoire francophone ainsi qu’anglophone afin de pouvoir rapproché les groupes ethniques en démontrant les nombreuses caractéristiques partagé entre eux. Parmi leurs point en commun furent les valeurs familiales et l’importance allégué à leur héritage ce qui laissa que la langue comme différence visible et problématique. Malgré cela, comme le lecteur a put s’en apercevoir dans de nombreux chapitres, les différents groupes demeurèrent séparé par un territoire neutre avec une haine partagé  entre eux. Ceci fût de même dans Pélagie-La-Charrette où le peuple d’acadien en question se virent rejeté par la population anglaise dût à la langue parlé par leurs ancêtres. Ils se trouvèrent alors exporté du pays pour ensuite, plusieurs années plus tard, être obligé de refaire le chemin de retour vers la terre qui était demeuré imprimé dans leur mémoire. Ils ont accomplient une grande part du voyage à pied, ce qui était en bout de ligne, la triste réalité des voyageurs du temps. Aujourd’hui, les avancements technologiques ont permis de faciliter la tâche d’un tel déplacement ce qui a permis à ma famille d’accomplir plusieurs déménagements afin de tenter d’améliorer notre qualité de vie. Comme démontré dans les romans, on peut choisir de changer de location pour une multitude de raisons, que soit pour l’éducation, la famille ou bien même la richesse. On bout de ligne, il suffit de savoir pourquoi on se déplace et de s’assurer que nous accomplissons le meilleure choix possible afin d’éviter tout regret et mécontentement face à cette énorme décision.
            Les migrations francophones en Amérique du Nord font parti de l’héritage et de la réalité de plusieurs habitants de l’Occident. Pélagie-La-Charrette et La Quête d’Alexandre sont deux romans écrits par des auteurs francophones qui présentent puis expliquent une variété de raisons pourquoi un individu déciderait de changer d’habitat. Ils présentent d’une façon très réaliste des situations qui permettent une compréhension plus approfondie de certaines valeurs francophones toujours présentes à ce jour dans plusieurs de nos vies quotidiennes. La simplicité des évènements auxquels ont fait face les personnages a grandement facilité la tâche de faire de lien avec mon vécu et fût sous aucun doute un grand point fort pour les deux romans. À part le langage plus complexe, il ne se trouve pas à avoir grand-chose à critiquer quant à la qualité de ces deux pièces de littérature. Deux très belles histoires très différentes partageant quelques messages cachés prêts à découvrir.

1. Hélène Brodeur, «La Quête d'Alexandre», Ottawa, 1985
2. Antonine Maillet, «Pélagie-La-Charette», Ottawa, 1979

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